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Bienvenue sur cette toute nouvelle page (5 mars 2015) consacrée à une étude du plan oblical, avec quelques lignes directrices seulement pour commencer.
1. Quelques définitions, les plans, les idées, le mental, pour parvenir à une sorte de définition de ce qu’on entend par plan oblical.
2. Quelques idées, pour parvenir à une sorte d’idée de l’oblicalité.
Ici, deux chemins parallèles, celui de l’information, et l’autre du traitement. On abordera le traitement du problème oblical pour simplement éviter de tomber dans
3. L’oblicalisme, peur, alarmisme, etc.

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On fera un inventaire de tous les articles à la fin.

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Harmonie pouvoir !

les plans

Avant toute chose, disons que le plan oblical, c’est une idée traduite par deux mots qu’il convient de laisser à l’intuition.
D’abord qu’est-ce qu’un plan ?
Un plan ça n’existe pas en tant que plan. Quand on décrit un mécanisme par lequel l’énergie une se déploie, à partir d’un point central, sous l’action de deux forces conjointes, une centrifuge qui éloigne du centre et une centripète qui l’y ramène ou tout au moins la garde juste ce qu’il faut éloignée du centre, on nous dit par exemple que si on jette un pavé dans une mare, il se forme à partir du point central des vagues s’éloignant vers le bord et quand elles atteignent le bord, qu’elles reviennent vers le centre en chevauchant les premières. Le centre on l’appelle esprit et le bord on l’appelle matière et entre les deux on décrit des plans de matière de plus en plus subtile quand on se rapproche du centre et des plans spirituels de plus en plus grossiers au fur et à mesure qu’on se rapproche du bord. Il ne s’agit pourtant pas de plans mais de cercles concentriques, et la description de l’ensemble se complique un peu plus si on tient compte du fait que dans le processus créateur, il ne s’agit pas d’une mare, qu’on pourrait appeler « plan d’eau », mais d’un monde, et que les plans ne sont donc non plus des cercles concentriques mais des sphères concentriques. DK en parle dans le traité sur le feu cosmique, où il décrit trois types d’énergie ou feu, le feu électrique, énergie purement spirituelle, le feu solaire ou lumière et le feu par friction, qu’on pourrait regarder comme la réaction produite quand les différentes vagues se rencontrent sur le plan d’eau. Il dit à ce moment là: les plans ne sont pas des plans mais des sphères…
Le truc, c’est que les sphères ne sont pas des sphères non plus.
Ce sont des sphères approximativement quand on se sert des poupées gigognes pour symboliser le monde, quelquefois on parle d’un oignon, ce sont des images. En ce qui concerne les poupées gigognes, certaines ne contiennent pas une poupée mais plusieurs, et prenons l’image d’un feu d’artifices: une fusée se détache du sol, monte vers le ciel où elle éclate, une boule de feu centrale apparaît juste à peine avant des boules qui éclatent à la périphérie, et chaque boule de feu éclate à son tour et en produit plusieurs, pour les poupées comme pour les fusées d’artificiers, il y a des sphères et des sphères dans les sphères et quand on regarde un homme et seulement un homme, et qu’on veut localiser par exemple l’eau dans un homme, ce qu’on appelle le plan émotionnel ou astral, ou l’air dans un homme, ce qu’on appelle le plan mental, alors les sphères dans les sphères sont encore complexifiées, il y a des bulles d’air dans l’eau, des bulles d’eau dans l’air, il y a de l’eau et de l’air dans les os, des mitochondries dans les cellules, la lumière du plan bouddhique rayonne autour de chaque atome, et l’énergie électronique circule partout, quand elle n’est pas entravée bien sûr, par les réactions d’un plan à l’autre, ce qu’on a appelé un peu plus haut les frictions.
Un plan n’est donc pas plan en tant que surface plane, ce qu’on appelle un plan, ce sont différentes choses toutes vivantes qu’on pourrait aussi bien dire entités, qui font partie d’un même ensemble quand on les regarde depuis « le plan mental », mental qui aime bien faire ça, dresser des listes, d’ensembles, établir des catégories, et dans cette façon de faire, il faut bien dire que certainement il arrive qu’on puisse mettre différentes choses « sur un même plan » …

Ainsi décrit-on traditionnellement sept plans de matière, qui sont aussi appelés plans de conscience, hein! on parle de conscience physique (matière solide), conscience émotionnelle ou astrale (matière liquide), conscience mentale (matière gazeuse), conscience bouddhique, et atmique (matière éthérique, des quatrième et troisième éthers), et spirituels (matière  des deux premiers éthers). Ces sept plans de matière sont alimentés par sept rayons, de substance énergie lumière, au niveau de sept centres de force qu’on appelle les chakras chez l’homme, les planètes (sur une planète ce sont les ashrams) dans le système solaire, et les spires dans l’atome. C’est le schéma classique proposé par l’ésotérisme traditionnel, qui est développé dans l’abc de l’occultisme dans le chapitre 7, mais ce n’est qu’un schéma…

La question est maintenant, qu’est-ce qu’on entend par plan oblical?

oblical, le plan oblical

Oblical, comme plan, ça n’existe pas non plus en tant que surface plane, c’est une idée proposée à l’intuition par le maître El Morya, avec quelques images qu’il a transmises à travers les mots de Leila Chellabi qui a été sa médiatrice pendant quelques années. Cette dernière ne donne pas l’autorisation de reproduire ses textes, et on ne trouve sur internet pour l’instant que cette page pour parler de ce plan. Voyez, c’est pas très clair, on lit par exemple : « C’est un plan qui ondule en permanence et qui traverse des zones bien précises de la structure de l’être humain en l’abaissant vibratoirement, puis qui finit par la dévier ». Sortie de son contexte, cette phrase « puis qui finit par la dévier » demanderait à être explicitée, on se demande en effet s’il ne s’agit pas de l’énergie qui est déviée plutôt qu’une structure, ou même des zones bien précises de la structure. Mais bon le texte original n’étant pas libéré, laissons cela…

Éclairons, donc, avec d’autres mots.
Le plan oblical nous apparaît aujourd’hui comme quelque chose de nouveau parce que l’humanité dans son ensemble, en poursuivant son cheminement initiatique, ou évolutif, pénètre sur le plan mental. « Pénètre » est peut-être inexact, l’humanité est actuellement centrée sur le plexus solaire, et tourne son regard vers le plan mental, alors que son attention jusqu’ici était portée sur le plan physique où l’activité sexuelle, reproductrice et de sauvegarde de la race, la fascine encore. Dans son ensemble, donc, l’humanité pénètre le plan mental du regard, et quelques uns plus avancés s’y aventurent réellement. C’est parce que cette marche humaine ne se passe pas comme on voudrait qu’on parle d’un plan oblical qui apparaît.

Comme on l’a dit dans l’article précédent, ce n’est pas un plan mais une sphère. Et ce n’est pas une sphère non plus, puisque les plans ne sont pas des plans mais des idées qui regroupent des éléments qu’on met sur le même « plan ».
Qu’est-ce qu’on peut mettre, alors, sur un même plan pour faire partager l’idée du plan oblical ? C’est ça que vous demandez maintenant j’en suis sûr. Nous allons répondre. Mais d’abord, nous allons préciser en quoi consiste une idée. Pour ne pas surcharger cette page, on va le mettre dans ce petit coin, lisez-le quand vous aurez un instant: ça parle d’énergie, et l’énergie c’est tout ce sur quoi on veut travailler ici …

Commençons, en donnant des exemples, deux, deux exemples de personnes qui nous semblent prisonnières du plan oblical. Des personnes qui ne sont pas forcément des vraies personnes existantes, on n’a pas l’intention de révéler des secrets d’ordre médical qui pourraient gêner qui que ce soit, on peut imaginer pourtant qu’il n’est pas inconcevable de se retrouver face à ces personnes, et en les regardant, d’en tirer quelques conclusions susceptibles d’enrichir un point de vue sur l’oblicalité.

les idées

Une idée, c’est une énergie qui n’a pas de forme, dans le sens de concept ou pensée que l’idée devient quand le mental lui donne une forme.
On peut dire en philosophie qu’un idée ça n’existe pas, comme on a dit qu’un plan ça n’existe pas, dans le sens où ce qui existe existe dans le monde extérieur, c’est visible et manifesté. Parce qu’on oppose essence et existence. L’idée est en essence, ce qu’elle représente dans l’existence. Mais il faut être prudent quand même.
On veut acheter ou construire une maison, on a une vague idée de la maison qu’on voudrait. On y pense et on y pense et on finit par en dessiner les plans, elle a commencé alors à prendre forme et quand on la construit, elle prend forme définitivement. Là il y a une grosse différence entre la vague idée qui n’est qu’en essence et la maison qu’on habite dans la vie en existence.
Mais la fraternité, c’est aussi une idée, et pourtant la fraternité ça existe. Pour les hommes, ça n’est trop souvent qu’une idée, trop souvent, mais la fraternité existe bien dans le monde des idées, c’est la hiérarchie des maîtres qui manifeste sur ce plan ce que les hommes ne manifestent pas encore, même si certains hommes, les disciples ou les adeptes, font déjà partie de la hiérarchie planétaire.
Doit-on dire pour autant que la maison dont on a une vague idée existe sur le plan des idées? C’est l’idée de Platon, et de Socrate avant lui: l’idée précède la forme et elle existe dans le monde des idées; pour Platon, il n’y a rien qui précède l’idée.
Platon c’est du plus, par rapport à ce qu’on dit maintenant, mais comme on va parler plus tard du plan oblical qui commence seulement à exister, et c’est pour ça que l’information est urgente, on sera amené à revenir sur les idées de Platon. Il faudra seulement se souvenir que c’est ici qu’on en a parlé…

Reprenons, il y a l’énergie et il y a la forme, il y a l’idée et il y a la pensée.
Disons pour reprendre l’ensemble de ce qui a été dit, que l’idée est plutôt du côté de l’énergie et que la pensée est plutôt du côté de la forme, comme on a dit que la matière de plus en plus grossière c’est de l’esprit de moins en moins subtil et inversement. Ainsi, l’idée du plan oblical, que Morya essaye de nous transmettre, ou plutôt qu’il nous communique et qu’on essaye de traduire, c’est une énergie qu’il pose sur nos cœurs, qui nous apparaît à travers des images, sur lesquelles on met des mots et des phrases.
Ici, mais on peut même dire, toujours, prenez les mots, et laissez leur énergie reproduire en vous le processus créatif de l’idée, de l’image et de la compréhension des mots …

deux cas

le premier cas:

Au café philo, on parle de choses et d’autres, et voilà quelqu’un qui se met à parler de sa propre vie en ces termes: « La vie, c’est des vagues successives qu’on prend en pleine gueule! Ça arrive comme ça, sans prévenir, et on doit surfer! On est obligé de faire face, de s’adapter, on est en permanence confronté au hasard. « 

Le second cas, c’est une personnalité politique qu’on voit à la télévision, interviewée par des journalistes qui disent: « mais vous ne répondez pas à la question! Répondez s’il vous plaît! », et l’autre de répondre: « Oui, c’est vrai, je suis très forte à ce jeu-là! »
Et ça la fait rire, et elle repart dans son monologue verbeux…

Le point commun à ces deux personnes est qu’elles n’entendent rien des autres. L’enfermement qu’elles vivent est extrême. Cela ne transpire pas tout à fait dans les propos rapportés, c’est ce qu’on constate au bout d’un certain temps à les côtoyer, les regarder, les entendre. Elles vivent dans une bulle que rien ne semble pouvoir pénétrer. Cette bulle n’est pas propre au plan oblical, ce qui est propre au plan oblical, c’est son extrême dureté.

la structure mentale

Chaque être humain vit en se construisant mentalement. On pourrait dire qu’il adopte une « façon de penser », et pose ainsi des repères qui lui permettent d’évoluer. Cette façon de penser est une habitude mentale cristallisée.

Ce qu’on appelle le mental, c’est l’atmosphère, le plan gazeux. Dans l’homme, le mental est composé des éléments les plus subtils de l’élément gaz, c’est la raison pour laquelle le mental est si difficile à maîtriser, c’est pratiquement un courant d’air, il va et vient, saute d’un objet à l’autre, comme une balle de ping pong qui rebondit sans cesse, ou comme un cheval au galop qu’il faut dresser pour qu’il devienne un ami. Les comparaisons avec le mental sont nombreuses dans toutes les cultures. Un point de repère, pour le mental, c’est pratique: c’est d’abord le père ou la mère, la famille, l’école, le travail, la nation, et la structure mentale se construit comme n’importe quelle structure, avec un aimant central qui attire les particules, les organise en images mentales et les retient dans son cercle d’activité; quand la structure ne plaît plus, l’aimant arrête d’agir, la structure est détruite et on en construit une autre. Ou bien, les repères s’accumulent et alourdissent la bulle d’air, qui éclate de temps en temps quand elle ne peut pas contenir quelque chose de plus, pour se reconstruire et ainsi de suite.

Arrivé à un certain âge, ou par paresse ou par fatigue, il peut se faire qu’une personne refuse d’avancer, de faire éclater la bulle encore une fois quand quelque chose de nouveau se présente à laquelle « elle n’avait pas pensé », alors elle s’accroche à la structure existante, qui durcit, se cristallise. On rencontre tous les jours des personnes de ce type, têtues, rigides, qui n’entendent pas ce qu’on leur dit, on parle d’un manque d’ouverture d’esprit …

 

la dureté

Les plans comme on les a définis sont structurés en sous plans. Par exemple, le plan physique qui contient de la matière solide, liquide, gazeuse et éthérique, comporte un sous plan physique solide, un sous plan physique liquide, un sous plan physique gazeux et les quatre sous plans physiques éthériques (qui constituent à eux quatre ce qu’on appelle le corps éthérique, ou corps énergétique). De la même façon, le plan mental comporte un sous plan mental physique (la partie solide des molécules d’air), un sous plan mental liquide (l’eau qui est dans l’air), un sous plan mental mental (la partie purement gazeuse du plan gazeux) et quatre sous plans mentaux éthériques (qui constituent chez l’homme ce qu’on appelle le mental proprement dit, c’est à dire la partie qui pense, la personnalité étant centrée sur le cinquième sous plan mental, c’est à dire sur le troisième éther en partant du haut).

Un têtu ordinaire se situe en général sur les tout premiers plans du mental abstrait, fin du troisième sous plan, début du quatrième, même des fois début du cinquième, et un têtu ordinaire, c’est déjà têtu! Dur. Alors, voilà, les têtus du plan oblical, qui pénètrent maintenant sur le plan mental, se servent des premiers sous sous plans du mental pour construire leur bulle, de la partie la plus solide de l’air. Dur, dur.

la réalité du plan oblical

C’est maintenant qu’on peut entrevoir en quoi consiste le plan oblical :
l’humanité dans son ensemble s’engouffre sur le plan mental,
au lieu d’avancer librement vers la lumière mentale, les hommes s’enferment dans une bulle d’une solidité redoutable,
les bulles entre elles commencent à interagir, vibratoirement, puisque sur tous les plans tout est énergie vibratoire,
et c’est parce qu’il y a cette interaction vibratoire qu’une réalité se dessine, qui attire des vibrations équivalentes, ou voisines, en provenance d’autres plans ou d’autres mondes …

Une bulle toute seule, c’est comme une enclave solitaire sur le premier sous plan du mental, ça ne prête pas à conséquence; dans le blindage d’une carlingue il y a toujours ici et là une bulle d’air, et elle n’entrave pas par sa seule présence l’équilibre de l’appareil, mais plusieurs bulles, qui agissent ensemble sur l’ensemble, c’est différent. Sur le premier sous plan mental, les bulles s’entassent et commencent à former une énergie stagnante, tumorale, qui déborde largement du processus normal évolutif, et qui, et c’est là que c’est grave, empêchent les nouveaux arrivants d’entrevoir la voie qu’on qualifiera de plus normale.
Pourquoi oblical? Morya dit oblical parce que les hommes dans leur bulle prennent la tangente au lieu de prendre la voie verticale qui conduit vers les hauteurs…
Une tendance actuelle consiste à penser ou à faire croire que cela est nouveau, que le plan oblical n’existait pas il y a une cinquantaine d’années, ce n’est pas sûr, nous y reviendrons, avant toute chose il est bon d’envisager maintenant les réponses ou les solutions possibles.

 

prévention

La méditation correcte pour le nouvel âge consiste dans la contemplation de la charte de la présence magique et dans l’emploi du verbe créateur ayam-je suis. La présence Je Suis individualisée dans le cœur de tous les êtres, est la protection invincible de la lumière contre toute manifestation extérieure.
Cette instruction a été rendue publique dans les années 1930 par l’intermédiaire de Guy Ballard qui a depuis accompli l’ascension. Force est de constater que des centaines, voire des milliers (si on compte les réalisations de compensation) de personnes ont pu s’échapper du cercle karmique avec elle, cette instruction, alors que les instructions qui ont été données auparavant par les maîtres n’ont permis pratiquement aucune libération. C’est ce que reconnaissent nos frères bien aimés Morya et Kutumi dans les discours qui sont relatifs à cet enseignement, et Jésus avec eux, ce qui ne les a pas empêché de continuer à participer à des transferts d’information, en dehors de celle concernant la présence magique, simplement parce que c’est normal de respecter des programmes établis de longue date, et c’est ainsi que des canaux qui ont reçu l’instruction sur le plan oblical n’ont pas reçu l’instruction sur la présence magique. C’est la raison de ce blog et en particulier de cette page concernant la prévention, et des suivantes concernant le traitement.

La meilleure prévention consiste à répandre la charte de la présence magique, en dépit des fausses informations ou des forces sinistres qui tentent de s’y opposer. Certaines personnes n’ont pas besoin d’explication et la reconnaissent, et elles retrouvent le sourire en regardant l’image. D’autres ont besoin d’une explication. Donnez de préférence l’instruction originale de Saint-Germain, car une instruction donnée par un maître est le maître lui-même. C’est une assurance pour ceux qui reçoivent la charte de retrouver le sens vertical de l’aspiration car la présence je suis se trouve juste au-dessus de la tête de chaque homme et n’attend qu’une chose, c’est que l’homme se tourne vers elle.
Certaines personnes se répandent en explications personnelles en recevant cette charte, explications qui n’ont rien à voir avec la vérité; pour ces personnes déjà prisonnières du mental, la prévention n’a plus sa place. Il faut agir autrement avec prudence d’abord, ou avec tout le pouvoir de la connaissance quand on est prêt.
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