Archives de catégorie : oblicalité

accueil

Hello !

Bienvenue sur cette toute nouvelle page (5 mars 2015) consacrée à une étude du plan oblical, avec quelques lignes directrices seulement pour commencer.
1. Quelques définitions, les plans, les idées, le mental, pour parvenir à une sorte de définition de ce qu’on entend par plan oblical.
2. Quelques idées, pour parvenir à une sorte d’idée de l’oblicalité.
Ici, deux chemins parallèles, celui de l’information, et l’autre du traitement. On abordera le traitement du problème oblical pour simplement éviter de tomber dans
3. L’oblicalisme, peur, alarmisme, etc.

Pour l’instant, vous pouvez aller au bout du blog simplement en déroulant la page d’accueil. Les liens en vert ouvrent sur la page suivante dans une nouvelle fenêtre, ou sur la page sur suivante quand deux informations se présentent en même temps, mais ces liens vous font quitter la page d’accueil.
On fera un inventaire de tous les articles à la fin.

N’hésitez pas à faire des commentaires ou à proposer des articles.

Harmonie pouvoir !

oblical, le plan oblical

Oblical, comme plan, ça n’existe pas non plus en tant que surface plane, c’est une idée proposée à l’intuition par le maître El Morya, avec quelques images qu’il a transmises à travers les mots de Leila Chellabi qui a été sa médiatrice pendant quelques années. Cette dernière ne donne pas l’autorisation de reproduire ses textes, et on ne trouve sur internet pour l’instant que cette page pour parler de ce plan. Voyez, c’est pas très clair, on lit par exemple : « C’est un plan qui ondule en permanence et qui traverse des zones bien précises de la structure de l’être humain en l’abaissant vibratoirement, puis qui finit par la dévier ». Sortie de son contexte, cette phrase « puis qui finit par la dévier » demanderait à être explicitée, on se demande en effet s’il ne s’agit pas de l’énergie qui est déviée plutôt qu’une structure, ou même des zones bien précises de la structure. Mais bon le texte original n’étant pas libéré, laissons cela…

Éclairons, donc, avec d’autres mots.
Le plan oblical nous apparaît aujourd’hui comme quelque chose de nouveau parce que l’humanité dans son ensemble, en poursuivant son cheminement initiatique, ou évolutif, pénètre sur le plan mental. « Pénètre » est peut-être inexact, l’humanité est actuellement centrée sur le plexus solaire, et tourne son regard vers le plan mental, alors que son attention jusqu’ici était portée sur le plan physique où l’activité sexuelle, reproductrice et de sauvegarde de la race, la fascine encore. Dans son ensemble, donc, l’humanité pénètre le plan mental du regard, et quelques uns plus avancés s’y aventurent réellement. C’est parce que cette marche humaine ne se passe pas comme on voudrait qu’on parle d’un plan oblical qui apparaît.

Comme on l’a dit dans l’article précédent, ce n’est pas un plan mais une sphère. Et ce n’est pas une sphère non plus, puisque les plans ne sont pas des plans mais des idées qui regroupent des éléments qu’on met sur le même « plan ».
Qu’est-ce qu’on peut mettre, alors, sur un même plan pour faire partager l’idée du plan oblical ? C’est ça que vous demandez maintenant j’en suis sûr. Nous allons répondre. Mais d’abord, nous allons préciser en quoi consiste une idée. Pour ne pas surcharger cette page, on va le mettre dans ce petit coin, lisez-le quand vous aurez un instant: ça parle d’énergie, et l’énergie c’est tout ce sur quoi on veut travailler ici …

Commençons, en donnant des exemples, deux, deux exemples de personnes qui nous semblent prisonnières du plan oblical. Des personnes qui ne sont pas forcément des vraies personnes existantes, on n’a pas l’intention de révéler des secrets d’ordre médical qui pourraient gêner qui que ce soit, on peut imaginer pourtant qu’il n’est pas inconcevable de se retrouver face à ces personnes, et en les regardant, d’en tirer quelques conclusions susceptibles d’enrichir un point de vue sur l’oblicalité.

deux cas

le premier cas:

Au café philo, on parle de choses et d’autres, et voilà quelqu’un qui se met à parler de sa propre vie en ces termes: « La vie, c’est des vagues successives qu’on prend en pleine gueule! Ça arrive comme ça, sans prévenir, et on doit surfer! On est obligé de faire face, de s’adapter, on est en permanence confronté au hasard. « 

Le second cas, c’est une personnalité politique qu’on voit à la télévision, interviewée par des journalistes qui disent: « mais vous ne répondez pas à la question! Répondez s’il vous plaît! », et l’autre de répondre: « Oui, c’est vrai, je suis très forte à ce jeu-là! »
Et ça la fait rire, et elle repart dans son monologue verbeux…

Le point commun à ces deux personnes est qu’elles n’entendent rien des autres. L’enfermement qu’elles vivent est extrême. Cela ne transpire pas tout à fait dans les propos rapportés, c’est ce qu’on constate au bout d’un certain temps à les côtoyer, les regarder, les entendre. Elles vivent dans une bulle que rien ne semble pouvoir pénétrer. Cette bulle n’est pas propre au plan oblical, ce qui est propre au plan oblical, c’est son extrême dureté.

la dureté

Les plans comme on les a définis sont structurés en sous plans. Par exemple, le plan physique qui contient de la matière solide, liquide, gazeuse et éthérique, comporte un sous plan physique solide, un sous plan physique liquide, un sous plan physique gazeux et les quatre sous plans physiques éthériques (qui constituent à eux quatre ce qu’on appelle le corps éthérique, ou corps énergétique). De la même façon, le plan mental comporte un sous plan mental physique (la partie solide des molécules d’air), un sous plan mental liquide (l’eau qui est dans l’air), un sous plan mental mental (la partie purement gazeuse du plan gazeux) et quatre sous plans mentaux éthériques (qui constituent chez l’homme ce qu’on appelle le mental proprement dit, c’est à dire la partie qui pense, la personnalité étant centrée sur le cinquième sous plan mental, c’est à dire sur le troisième éther en partant du haut).

Un têtu ordinaire se situe en général sur les tout premiers plans du mental abstrait, fin du troisième sous plan, début du quatrième, même des fois début du cinquième, et un têtu ordinaire, c’est déjà têtu! Dur. Alors, voilà, les têtus du plan oblical, qui pénètrent maintenant sur le plan mental, se servent des premiers sous sous plans du mental pour construire leur bulle, de la partie la plus solide de l’air. Dur, dur.