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oblical, le plan oblical

Oblical, comme plan, ça n’existe pas non plus en tant que surface plane, c’est une idée proposée à l’intuition par le maître El Morya, avec quelques images qu’il a transmises à travers les mots de Leila Chellabi qui a été sa médiatrice pendant quelques années. Cette dernière ne donne pas l’autorisation de reproduire ses textes, et on ne trouve sur internet pour l’instant que cette page pour parler de ce plan. Voyez, c’est pas très clair, on lit par exemple : « C’est un plan qui ondule en permanence et qui traverse des zones bien précises de la structure de l’être humain en l’abaissant vibratoirement, puis qui finit par la dévier ». Sortie de son contexte, cette phrase « puis qui finit par la dévier » demanderait à être explicitée, on se demande en effet s’il ne s’agit pas de l’énergie qui est déviée plutôt qu’une structure, ou même des zones bien précises de la structure. Mais bon le texte original n’étant pas libéré, laissons cela…

Éclairons, donc, avec d’autres mots.
Le plan oblical nous apparaît aujourd’hui comme quelque chose de nouveau parce que l’humanité dans son ensemble, en poursuivant son cheminement initiatique, ou évolutif, pénètre sur le plan mental. « Pénètre » est peut-être inexact, l’humanité est actuellement centrée sur le plexus solaire, et tourne son regard vers le plan mental, alors que son attention jusqu’ici était portée sur le plan physique où l’activité sexuelle, reproductrice et de sauvegarde de la race, la fascine encore. Dans son ensemble, donc, l’humanité pénètre le plan mental du regard, et quelques uns plus avancés s’y aventurent réellement. C’est parce que cette marche humaine ne se passe pas comme on voudrait qu’on parle d’un plan oblical qui apparaît.

Comme on l’a dit dans l’article précédent, ce n’est pas un plan mais une sphère. Et ce n’est pas une sphère non plus, puisque les plans ne sont pas des plans mais des idées qui regroupent des éléments qu’on met sur le même « plan ».
Qu’est-ce qu’on peut mettre, alors, sur un même plan pour faire partager l’idée du plan oblical ? C’est ça que vous demandez maintenant j’en suis sûr. Nous allons répondre. Mais d’abord, nous allons préciser en quoi consiste une idée. Pour ne pas surcharger cette page, on va le mettre dans ce petit coin, lisez-le quand vous aurez un instant: ça parle d’énergie, et l’énergie c’est tout ce sur quoi on veut travailler ici …

Commençons, en donnant des exemples, deux, deux exemples de personnes qui nous semblent prisonnières du plan oblical. Des personnes qui ne sont pas forcément des vraies personnes existantes, on n’a pas l’intention de révéler des secrets d’ordre médical qui pourraient gêner qui que ce soit, on peut imaginer pourtant qu’il n’est pas inconcevable de se retrouver face à ces personnes, et en les regardant, d’en tirer quelques conclusions susceptibles d’enrichir un point de vue sur l’oblicalité.

les idées

Une idée, c’est une énergie qui n’a pas de forme, dans le sens de concept ou pensée que l’idée devient quand le mental lui donne une forme.
On peut dire en philosophie qu’un idée ça n’existe pas, comme on a dit qu’un plan ça n’existe pas, dans le sens où ce qui existe existe dans le monde extérieur, c’est visible et manifesté. Parce qu’on oppose essence et existence. L’idée est en essence, ce qu’elle représente dans l’existence. Mais il faut être prudent quand même.
On veut acheter ou construire une maison, on a une vague idée de la maison qu’on voudrait. On y pense et on y pense et on finit par en dessiner les plans, elle a commencé alors à prendre forme et quand on la construit, elle prend forme définitivement. Là il y a une grosse différence entre la vague idée qui n’est qu’en essence et la maison qu’on habite dans la vie en existence.
Mais la fraternité, c’est aussi une idée, et pourtant la fraternité ça existe. Pour les hommes, ça n’est trop souvent qu’une idée, trop souvent, mais la fraternité existe bien dans le monde des idées, c’est la hiérarchie des maîtres qui manifeste sur ce plan ce que les hommes ne manifestent pas encore, même si certains hommes, les disciples ou les adeptes, font déjà partie de la hiérarchie planétaire.
Doit-on dire pour autant que la maison dont on a une vague idée existe sur le plan des idées? C’est l’idée de Platon, et de Socrate avant lui: l’idée précède la forme et elle existe dans le monde des idées; pour Platon, il n’y a rien qui précède l’idée.
Platon c’est du plus, par rapport à ce qu’on dit maintenant, mais comme on va parler plus tard du plan oblical qui commence seulement à exister, et c’est pour ça que l’information est urgente, on sera amené à revenir sur les idées de Platon. Il faudra seulement se souvenir que c’est ici qu’on en a parlé…

Reprenons, il y a l’énergie et il y a la forme, il y a l’idée et il y a la pensée.
Disons pour reprendre l’ensemble de ce qui a été dit, que l’idée est plutôt du côté de l’énergie et que la pensée est plutôt du côté de la forme, comme on a dit que la matière de plus en plus grossière c’est de l’esprit de moins en moins subtil et inversement. Ainsi, l’idée du plan oblical, que Morya essaye de nous transmettre, ou plutôt qu’il nous communique et qu’on essaye de traduire, c’est une énergie qu’il pose sur nos cœurs, qui nous apparaît à travers des images, sur lesquelles on met des mots et des phrases.
Ici, mais on peut même dire, toujours, prenez les mots, et laissez leur énergie reproduire en vous le processus créatif de l’idée, de l’image et de la compréhension des mots …